• Référence: guide du chateau

    Situé dans les Préaples fribourgeoises le château de Gruyères, l'un des plus prestigieux de Suisse, domine la cité médiévale de Gruyère. Je ne vous conterai point son histoire et vous décrirai encore moins ses fortifications d'autres avant moi l'on fait avec talent. Pour en savoir plus cliquez sur les 3 premières photos.

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    Gruyères fut fondée en l'an 400 par GRUERIUS. Il capture une grue et la présente comme animal héraldique.

    Ce château de type " carré savoyard " date des années 1270 - 1282 mais il a subi aux cours des siècles de nombreuses transformations, particulièrement a la fin du XV° ou il perd son aspect de château fort pour devenir une demeure seigneuriale. Aux XVII° et XVIII° ses intérieurs sont aménagés en style baroque.

    Aujourd'hui l'on peut visiter les extérieurs gratuitement et les intérieurs pour moins de 10€. Un montage multimédia de 18mn vous contera son histoire avant une visite d'environ 1h00.

    Sur le plan du chateau , l'on peut voir l'enceinte qui entoure le carré savoyard. En pointillé en haut à gauche, l'anncienne muraille du XII° siècle.  Sans titre-1 

     L'ESPLANADE

    L'aménagement de l'esplanade remonte à la seconde moitié du XV°. Cet aménagement s'intègre dans la phase de fortification du château de 1433 à 1492. Chateau-de-gruyere-esplanade.jpg  Le puits (petite tour circulaire sur la gauche) se trouve sur l'ancien fossé. Au-dessus de l'entrée (porte en noire) vous pouvez apercevoir les traces de l'ancien pont levis. Placé de chaque coté deux énormes boucliers en bronze Mars et Venus réalisés par Patrick Voodroffe en 1997 et 1999.

    chateau-de-gruyere-esplanade-puit-.jpg

      LA COUR INTERIEURE

    Le corps de logis fut transformé à partir de la fin du XV°.

    LES CUISINES
    cuisines.jpg Vue à partir d'un balcon des logis balcon

    REMPART ET JARDIN A LA FRANCAISE
    Les murs de l'enceinte et les deux tours orientales ont été édifiées à la fin du XV°. Ils délimitent le jardin dont l'établissement remonte à l'époque médiévale. L'agencement actuel est relativement récent, début du XX°. Entre les deux tours un chemin de ronde couvert.tours-orientales.jpgjardins-a-la-francaise.jpg 
    Jardin, au pied du donjon. jardins-et-donjon.jpg Entrée du chateau
    entrée du chateau
      La Chapelle

     Dès le XII° un lieu de culte est attesté, mais l'actuelle chapelle Saint-jean-Baptiste  qui date de1480, a été aménagée par le Comte Louis, comme l'indique l'inscription au dessus du portail.
    Chapelle-du-chateau-de-Gruyere.jpg

     Vue sur le village, à partir du donjon.

    Vue-sur-le-village-medievale.jpg   

     

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  • Lors de la visite d'une grotte sur les hauteurs du lac d'Annecy j'ai pris cette photo surprenante...J'ai juste forcé un peu sur les contrastes, pour faire ressortir les traits du visage que l'on devine et réduit un peu la vitesse pour accentuer l'effet de chevelure.95-cascade-Annecy.jpg

     

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  • Hier Papy a eu a la chance de suivre un cours de 04h00 sur les différentes mises au point et tout particulièrement sur l'art et la manière de réussir un flouté d'arrière plan.

    Voici ma première tentative de macro réalisé avec un objectif de 55-250, certes pas prévu pour la macro, mais Papy n'a pas d'objectif macro alors il a fait avec les moyens du bord, comme d'hab...Et c'est la première fois qu'il travaille en tout manuel. Je m'en faisais une montagne, mais avec un excellent prof. tout devient facile. Toutefois le chemin à parcourir est encore long, manque de netteté, cadrage pas terrible, bokeh perfectible, image trop brute de décoffrage...Je n'ai pas obtenue le résultat que je souhaitais, mais c'est ma meilleur photo. Lol!! Je recherche plus de finesse, de sensualité, de légereté. Si quelqu'un a des astuces je suis preneur.

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  •  15h00, Papy arrive sur sa zone de déploiement opérationnelle. 15h15, prise de contact avec les officiers de liaisons. Primo : déterminer les postes de combat, évaluer les distances, déterminer les secteurs de tir. Secundo : préparer le matériel, un Canon de 60 équipé d'un 55-250 fera l'affaire faute de mieux. C'est la crise, le budget dédié aux opérations n'est plus ce que c'était. Pour info la patronne de Bercy c'est Mamy...Et les OPEX (opérations extérieures) ce n'est pas sa priorité...Tertio : Identifier les forces en présences, repérer les chefs et les éléments de valeurs, pour mieux les shooter lors de l'affrontement.

    Papy se poste, s'accroupi sur la pelouse, se fait discret, tente de se faire oublier car l'homme en noir le regarde d'un mauvais œil. Soupçonnerait-il Papy d'espionnage ? Les forces en présence lui jettent des regards en coin méfiant. Qui c'est celui la ? Un espion de la fédé, un honorable correspondant ou pire encore ?

    De plus en plus discret, Papy se fond dans le milieu. Bientôt la pelouse et Papy ne font plus qu'un.

    Le sifflet retentit, les troupes s'élancent, s'affrontent, les combattants courent, tombent, crient, se blessent, la bataille fait rage. Papy l'œil collé au viseur tire par courtes rafales, se déplace de poste de combat en poste de combat. Les protagonistes l’ignorent, l'homme en noir aussi. 90 mn plus tard, munitions épuisées, c’est un Papy fourbu qui regagne sa base de repli. Mission accompli, échec total, dont voici le maigre résultat.

      Foot-ball-1.jpg

     Foot-ball-2.jpg

    Foot-ball.jpg

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    Tester pour la première fois :

    objectif canon EFS 55-250 IS II sur un terrain de foot.

       

    N'ayant que très peu d'expérience dans le domaine de la photo, j'ai utilisé le mode automatique : " prise de vue de sujets en mouvement " et la fonction " prise de vue en rafale à vitesse élevée " (5,3 image par seconde). Je n'ai pas enregistré en RAW mais uniquement en JPEG 18 millions de pixels.

      Etant très peu mobile le grossissement ne permet pas des gros plan à l'autre bout du terrain. Toutefois j'ai limité la casse en recadrant les 3/4 des photos. Ce qui est peu gênant dans la plupart des cas. Pour les floutés de fond, c'est raté. Je n'y connais pas grand chose en photo mais cela doit être du au F 4-5.6 qui est insuffisant. Sur environ 200 photos je n'ai réussi qu'un flouté parfait, non présenté, et encore sans le faire exprès. Ma principale difficulté a été de cadrer correctement. Pour trois raisons :
    - 250 c'est insuffisant pour couvrir la totalité du terrain;
    - Les joueurs se déplaçaient très rapidement;
    - Trop souvent les joueurs formaient une masse inesthétique.

    Toutefois j'ai été surpris par les rapidités de  mise au point et de prise de vue. J'ai pu prendre jusqu'à 5 photos d'une même action, avec une netteté surprenante. 95% des photos sont nettes. Je m'attendais à pire. 

    C'est la première fois que je prends des photos d'un sport collectif et j'ai pris conscience que j'avais de nombreuses lacunes à combler.
    Comme me le dit Mamy « Arbeit !! Herr hauptmann »

    Si vous avez des conseils à me prodiguer, c'est avec le plus grand plaisir que je les accueillerais.

      

     

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  • Hier soir Papy c'est mis en tête de faire une série de photos sur "La Pierre Percée". Rien de plus simple allez vous dire. « Ben ça c'est sur » comme qui dirait une vieille connaissance...

    09h00, une bonne heure pour se lever. Vérification du matos, Canon batteries à 10%, Fuji piles vides, objectif de 55-250 porté déserteur. Une heure avant le départ : « Au fait La Pierre Percée c'est où ? ».  Clic ! Le PC s'allume, Google et Mappy sont mis à contribution. Cornequenouille !! Enfer et damnation, plus de 100 kms à parcourir. «Kein problem »dit Mamy habituée. « Primo : direction un certain magasin pour acheter batteries et objectif. Secundo : une petite pause au resto pour faire le plein. Tertio : on prendra les petites routes détournées, histoire de visiter ». Papy : « A vos ordres herr hauptmann ». Faut jamais discuter les ordres de Mamy.

    Après avoir accompli les taches logistique, direction La pierre percée. Deux heures plus tard nous voila sur le parking de La Motte d'Aveillans. Misère et désespoir ! La route d'accès est impraticable, il faut continuer à pied. « C'est loin ! » dit Mamy. « Non juste après le prochain virage » dit Papy en vieux routier...En Afrique toute les villes et villages se situent aprés le prochain virage. 40mn plus tard et 300m de dénivelé plus loin La Pierre Percée est en vue. « Je ne monte pas, c'est trop haut » s'écrie Mamy à bout de souffle. Papy abandonne Mamy et s'élance à l'assaut de La Pierre. Avec une jambe à la robocop l'affaire est rondement menée. Les objectifs chauffent, les clics clacs crépitent, Mamy s'impatiente. Papy bat en retraite, rejoint Mamy et s'en retourne sur sa base de repli.

    Mamy prend le volant, papy règle le GPS et s'endort, mission accomplie.

    Pour tout connaitre sur LA PIERRE PERCEE cliquez sur les photos.

     la-pierre-percee-2.jpg

     Pour connaitre la légende de cette pierre, cliquez sur la photo ci-dessousla-pierre-percee-3.jpg

     

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  •  Nouveau venu dans la communauté " Le concours de la photo du mois ", comment me présenter. C'est mamy qui a eu l'idée de passer derrière le miroir pour un petit coucou.

    J’adore la peinture, mais je pratique la photo par fainéantise. Quoiqu’il m'arrive de passer plusieurs heures sur une photo, juste pour la transformer... A la fin, ce n'est plus une photo, c'est une peinture numérique. Parfois aprés un long travail laborieux, je l'efface. Le résultat est nul. Chercher l'erreur.

    Membre d'un club photo, mes créations laissent souvent l'assistance dubitative et compatissante. Lol !!

    Mais vagabond, incapable de me discipliner j'erre au gré de mes humeurs dans différents domaines (Rome, Moyen-âge, Empire, Corsaires et Pirates, humour, actualité, religion, Mayotte, etc... ).

    Donc nous voila,

    5 BIARRITZ glaces

     

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  • Le taureau de bronze de DAX vu par Papy...Black is black, where is the red ?...Papy mef, tu commence à taper dans les gamelles...DAX-Toreau2.jpg

     

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  • Papy à la recherche de son style...Pourquoi le noir en toile de fond ? je n'en sais strictement rien...cette couleur s'impose progressivement depuis quelques temps... Contre ma volonté...Mais je trouve les résultats sympa, alors je continue dans cette voie...

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  • De passage en Gruyère, un vendredi soir, Papy c'est retrouvé au Buro. Non, non, ce n'est pas une erreur je parle bien du Buro et non du bureau. Le Buro, c'est un bar de Bulle (Suisse) ou l'on peut bénéficier d'une petite restauration originale et écouter en soirée des concerts eclectiques donnés par des groupes internationaux, nationaux ou locaux. Cet établissement étant essentiellement fréquenté par la jeunesse gruyerienne, que faisait donc Papy dans cet endroit un vendredi soir ? Tout simplement écouter un groupe local et surtout rencontrer un musicien en particulier. Chut secret défense... Je n'en dirai pas plus. Je vous présente donc quelques photos du groupe CATILLON. J'ai pris de nombreuses photo, mais hélas seulement trois sont potables.

    DEDE: claviers, guitare acoustique, backing vocal  et GREGcatillon-bulle.jpg

     TITI, lead vocale et guitare accoustique.catillon-gruyere.jpg

     GREG: basse, backing vocal.catillon.jpg

     LE CROUPE CATILLON  http://www.catillon.ch/?page_id=12

    C’est l’amitié qui s’unit au nom de la musique et de la passion.linklink

    Né sous l’impulsion de son leader Titi Sottas, le groupe se compose de 5 artistes gruyériens. Le talent musical des amis puise sa source dans leurs racines gruyériennes traditionnellement attachées à la musique populaire.

    Pour garder toute l’émotion de ses compositions, le groupe privilégie la langue française dans un style musical folk rock.

    Leur premier cd 4 titres offre au public un aperçu du « style Catillon ». Ce style accrocheur n’a d’ailleurs pas échappé aux médias puisque le titre phare intitulé « l’Etoile du nord » est passé sur 5 radios et 2 chaînes tv ! Remarquable pour un premier opus…

    Afin d’asseoir sa renommée hors des frontières régionales, Catillon a maintenant la chance de compter sur le soutien de radios comme DRS 3 ou Option Musique pour diffuser ses titres et annoncer ses concerts. 

     

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  • Si d'aventure vous séjournez dans LA GRUYERE (Suisse) et que vous recherchez l'insolite, oubliez fromage, châteaux et chocolat. Chaussez vos brodequins et parcourez les sentiers de la région de GRANDVILLARD. Les surprises seront aux rendez-vous.

     A proximitè de LESSOC, vous aurez la chance découvrir le vieux pont de bois appelé familièrement "le pont qui branle". Malgré son grand âge un nom immérité. Sa solidité est surprenante.

    Ce pont, qui enjambe la Sarine a été à maintes reprises restauré, détruit et reconstruit.
    1456 voit la naissance d'une passerelle constituée d'un tablier de gros rondins de bois recouvert de gravier. Cette passerelle fut emportée par une crue subite de la Sarine en 1571.
    De 1610 à 1692 il est réparé et reconstruit tout ou en partie régulièrement.

    Le pont que l'on peut emprunter actuellement a été construit en 1667.

    Pour les curieux, cliquez sur les photos. Derrière la première vous lirez les explications passionnées de l'archéologue Jean-Pierre DEWARRAT, grand amateur de lieux insolites. Avec la deuxième Clément FONTAINE vous contera l'histoire et les légendes qui entourent le pont qui branle.

     Pont qui branlePont-qui-branle-2.jpg

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  • LES AVENTURES DU CHEVALIER DARTASSE DE LA COMBE

     

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  • Références: " Pirates, les maitres des sept mers du monde " de Marco Carini et Flora Macallan, paru en 2009   pirate.jpg

    La piraterie a connu son âge d'or entre 1690 et 1720 aux Antilles et sur les cotes nord-américaines.
     Mais saviez vous que ces brigands que l'on dépeint comme des barbares sans foi ni loi étaient en réalité régi par un véritable système démocratique.
    Sur la plupart des navires pirates, les membres de l'équipage participaient à l'élaboration d'un code de conduite. Ils élisaient leur capitaine et les officiers, déterminaient les sanctions relatives aux entorses du règlement et se partageaient les butins selon des règles établies.

    LE CAPITAINE

    Lors de l'élection du capitaine chaque membre d'équipage avait le droit de vote. Toutefois son pouvoir était restreint, il n'avait le commandement absolu qu'au combat. Pour ce qui concerne les décisions de la vie quotidienne il devait obtenir l'accord de la majorité en assemblée plénière. Le capitaine ne bénéficiait d'aucun privilège en matière de gite et de couvert.

    LE QUARTIER MAITRE

    Responsable de la manœuvre, il distribuait la nourriture et partageait le butin. Il pouvait aussi faire entamer un procès contre le capitaine. Si le capitaine refusé, il était reconnu coupable.

    LE CONSEIL ELU

    Composait d'officiers, d'artisans et de marins expérimentés il détenait l'autorité sur le pont. 

     

    UNE ORGANISATION DEMOCRATIQUE ET SOCIALE

    A une époque ou les équipages de la marine de commerce et de guerre étaient soumis à une discipline de fer, la vie à bord des navires pirates attirait les marins.
    Sur les navires pirates, esclaves, noirs, arabes, européens étaient égaux.
    La vie à bord, sans considération de couleurs de peau, de religion ou d'origine était régie par des règles égalitaires.

    La confrérie des pirates mettait en place des sortes de réseaux sociaux destinés à venir en aide aux plus nécessiteux. Les blessés au cours d'un combat recevaient une prime en complément de la part de butin convenue au préalable. Les vétérans avaient droit à une assurance vieillesse lorsqu'ils n'étaient plus en mesure de combattre. Les familles des défunts bénéficiaient d'aides. Dans la marine régulière rien de cela n'existait.

     

    Voici un exemple de code, il s'agit d'un contrat établit par le forban Bartholomew Roberts, avant un départ en expédition. Ce texte est extrait de " l'histoire générale de la piraterie ", de Charles Johnson, paru en 1734.

    LES DIX COMMANDEMENTS DU PIRATE

    1 - Chaque membre de l'équipage a le droit de vote pour toute affaire courante, chacun a un titre égal aux provisions fraiches et aux alcools forts.

    2 - Celui qui vole ses camarades sera déposé à terre.

    3 - Les jeux d'argent sont interdits, que ce soit avec des cartes ou avec des dés.

    4 - Les lumières et les chandelles doivent etre éteintes à 8h00 du soir au plus tard. Ceux qui veulent boire après cette heure doivent se rendre sur le pont.

    5 - Les fusils, les pistolets et les sabres d'abordage doivent etre entretenus régulièrement et gardés en état de marche.

    6 - Les femmes et les jeunes garçons sont interdits à bord. Celui qui fait monter sur le navire une femme déguisée en homme sera puni de mort.

    7 - Celui qui déserte son poste ou son navire pendant le combat sera condamné à mort ou flagellé.

    8 - Les bagarres sont interdites à bord. Les querelles seront réglées à terre.

    9 - Celui qui perd un membre au cours du combat reçoit une part de butin supplémentaire.

    10 - Le capitaine et le quartier-maitre reçoivent chacun deux parts de butin ; le canonnier et le maître-d'équipage une part et demie ; les officiers, une part un quart ; tous les autres membres d'équipage, une part.

     

     

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  • tyliane-ciel-nuageux-062-copie-1.JPG

    Cette nuit une question m'a taraudée l'esprit:

     "La création de l'univers est-elle le fruit du hasard ou d'une volonté ? "

    Curieux j'ai de suite cliqué sur Google et surprise, de nombreux scientifiques se posent la même question depuis fort longtemps.

    Puis je me suis rappelé les interventions d'un vieux professeur de sciences  lorsque j'étais au lycée. Il disait souvent cette phrase : « plus j'avance dans la connaissance scientifique, plus je crois en Dieu ». A cette époque cela me surprenait énormément car il nous démontrait le contraire dans ses expériences.

    Nous pouvons mettre l'univers et la vie en équation et cela serait le fruit du hasard.

    Il existe tellement de constante physique paramétrées a des dizaines de chiffres après la virgule que cela ne peut être le fruit du hasard.

    Mais alors Dieu existerait-il ?
    Et si la science le prouvait un jour.
    Drôle de paradoxe n'est-ce pas....

     

    « Essayer d’expliquer le début de l’apparition de la vie par le hasard, c’est admettre que lors de l’explosion d’une imprimerie, il ait pu se former un dictionnaire tout seul. »
       Edwin Couklyn -(biologiste américain)

     « La probabilité que notre univers soit issu du hasard est comparable à celle d’un archer réussissant à planter sa flèche au milieu d’une cible carrée de 1 cm de côté et située à l’autre bout de l’univers »
       Trinh Xuan Thuan (Astrophysicien)

      


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  • Un article de la ligue de défense des conducteurs qui dénonce les business des radars qui n'a rien à voir avec de la véritable prévention. LISEZ, vous allez etre scandalisé...

    Cet article est tiré de ce SITE 

    Site de la ligue de defense des conducteurs  

     

    Madame, Monsieur, 

    Si vous faites partie de ces millions de Français qui n'ont pas une conduite dangereuse, mais qui conduisent dans l'angoisse de se faire piéger par des radars situés à des endroits absurdes, de perdre des points et payer une amende pour quelques km/h de plus que la limite autorisée, … 

    … alors ce que je m'apprête à vous révéler est de la plus haute importance. 

    Beaucoup de Français supposent qu'en installant des radars partout, nos dirigeants ont à cœur de nous protéger, d'assurer notre "sécurité". D'autres pensent aussi que l'argent des radars sert à renforcer la sécurité routière, à payer la police ou les routes. 

    On est bien loin de la réalité. Et je vais vous le prouver chiffres à l'appui. 

    Dans quelques secondes, vous allez découvrir que, lorsque vous vous faites flasher, vous alimentez la cash-machine la plus juteuse depuis l'invention de Las Vegas… Où d'énormes entreprises privées encaissent des bénéfices gigantesques sur votre dos. 

    Quant au mythe de la "sécurité" grâce aux radars, parlons-en ! Les données de l'ONISR – le très officiel Observatoire national interministériel de sécurité routière – montrent que la baisse du nombre de morts a en réalité des causes bien différentes de celle qui est invoquée par le gouvernement pour justifier ce qui n'est, au fond, qu'un moyen de racketter les citoyens honnêtes. 

    Je vais y revenir dans un instant. Mais sachez déjà que, lorsqu'on regarde la courbe de la mortalité routière, avant et après l'installation des radars automatiques, on s'aperçoit que la baisse du nombre de tués sur la route n'a rien à voir avec les radars. 

    Pire : 

    En faisant de la répression par les radars l’alpha et l’oméga de sa politique de sécurité routière… 

    En négligeant tout ce qui a fait le succès de la sécurité routière depuis les années 70 : la prévention, la formation, l’entretien et l’amélioration des routes, une répression ciblée et mesurée... 

    Le gouvernement a cassé la dynamique, au point de faire repartir à la hausse le nombre de tués sur les routes en 2011. 

    Pourquoi les autorités acceptent-elles de sacrifier ainsi notre sécurité sur les routes tout en faisant mine d’en faire une grande cause nationale ? 

    C'est que la répression routière est devenue un incroyable business. 

    Les radars rapportent aujourd’hui près d’un milliard d’euros par an - 974 millions exactement en 2010. Et la cagnotte augmente chaque année. 

    L’Etat n’est pas le seul à profiter de ce pactole : des dizaines d’entreprises nationales et multinationales sont parvenues à s’approprier une part grandissante de ce juteux marché. Et ce n’est pas sans conséquence sur l’avenir de la sécurité routière dans notre pays. 

    C’est ce business que je vais vous détailler dans quelques instants. Un business très lucratif pour certains, et absolument dévastateur pour les conducteurs et les familles qui perdent l’un des leurs sur la route.  

    Mais avant cela, permettez-moi de me présenter.  

    Je suis Christiane Bayard, Secrétaire générale de la Ligue de Défense des Conducteurs. 

    La Ligue de Défense des Conducteurs est une association de citoyens qui ont décidé de s'organiser pour résister ensemble aux dérives de la répression routière, et pour restaurer enfin une politique de sécurité routière pragmatique et efficace. 

    Vous avez peut-être entendu parler de notre association dans les médias. 

    Ou lors de la grande manifestation du 18 juin dernier. Nous avons fait partie du collectif d'associations qui ont fait descendre des centaines de milliers de conducteurs dans la rue pour protester contre le fanatisme répressif du gouvernement. 

    Ou peut-être tout simplement recevez-vous chez vous nos lettres d'information, ou avez-vous participé à une mobilisation nationale lancée par la Ligue de Défense des Conducteurs 

    Si c'est le cas, vous savez que chaque fois que le gouvernement sort une nouvelle sanction injuste envers les conducteurs, il nous trouve sur sa route. Nous avons percé à jour de nombreux scandales sur la répression routière, et nous avons à plusieurs reprises obtenu gain de cause.  

    Mais pour se débarrasser une bonne fois pour toutes de la répression automatisée et revenir à une politique de sécurité routière qui sauve vraiment des vies, nous allons avoir besoin de la mobilisation massive de tous les conducteurs. 

    Ne vous y trompez pas : je ne viens pas faire l'apologie de la violence routière. Je ne suis pas là pour défendre les conducteurs dangereux. 

    Comme tout le monde, je souhaite du fond du cœur qu'il y ait moins d'accidents chaque année. Et c'est justement pour ça qu'il est grand temps que tous les Français connaissent la vérité sur les radars. 

    La vérité, la voici :

    Contrairement à ce que le gouvernement répète en boucle depuis des années, les radars n’ont jamais sauvé de vie 

    Je suis consciente pour que de nombreuses personnes, cette vérité est difficile à entendre. Comment pourraient-elles soupçonner que les pouvoirs publics font de la propagande mensongère sur un sujet aussi grave ?  

    Pourtant, les faits sont là : 

    Les chiffres fournis par l’ONISR, l’Observatoire National Interministériel de la Sécurité Routière, montrent clairement que le nombre de tués sur les routes baisse de façon quasi-continue depuis plus de 30 ans. Il y a presque trois fois moins de tués sur les routes aujourd’hui qu’en 1972, alors que la circulation a augmenté de près de 80 % dans le même temps.  

    C’est un formidable succès. Mais il ne doit rien aux radars. 

    Leur mise en place à la fin de l’année 2003 et la répression aveugle qui s’en est suivie n'ont absolument rien changé à cette tendance de fond. La courbe a continué de baisser au même rythme qu’avant.  

    Les raisons de ce recul de la mortalité routière depuis plus de 30 ans sont bien connues :  

    - amélioration constante des routes, aménagement des carrefours et des zones à risques

    - amélioration des véhicules : généralisations des airbags, amélioration des systèmes de protections, aide à la conduite, port de la ceinture...

    - campagnes de sensibilisation et de prévention efficaces

    - lutte contre l’alcool au volant, répression ciblée et mesurée des conduites dangereuses. 

    Pourtant, à partir de la fin de l’année 2003, la politique de prévention routière qui avait si bien fonctionné jusque-là, est progressivement abandonnée. 

    L’Etat commence à investir massivement dans les radars. 

    Associés au permis à points, ils vont devenir la pierre angulaire d’un système de répression aveugle qui frappe essentiellement les petits excès de vitesse. Pourtant, rouler à 3 ou 4 km/h au dessus de la limite autorisée, ce n'est pas ce qu'on peut appeler une conduite dangereuse. 

    Ce n’est plus la baisse réelle du nombre de tués sur les routes qui importe, mais la rentabilité des radars. Le système du « tout radars » et du « tout répressif » punit aveuglément le plus grand nombre sans réduire pour autant le nombre d’accidents et de morts sur les routes. 

    Huit ans après la mise en place des premiers radars, la situation est catastrophique : 

    En 2002, les petits dépassements de vitesse ne représentaient que 3 % des retraits de points.

    Aujourd’hui, avec les radars, ils représentent plus de 70 % des cas. 

    Chaque année, 90 000 personnes voient leur permis invalidé faute de points. 

    60 000 d’entre elles perdent leur emploi après avoir perdu leur permis

    Des VRP, des livreurs, des infirmières libérales, des médecins qui ne peuvent plus exercer 

    Malgré cette hécatombe, le gouvernement s’acharne à diaboliser la vitesse.  

    Cela permet de verbaliser les automobilistes qui conduisent raisonnablement, et ont d’ailleurs 50% de bonus sur leur assurance, mais qui ont le malheur de dépasser de quelques km/h la limite autorisée. 

    C’est un réservoir gigantesque de nouvelles rentrées fiscales déguisées. 

    Rien d’autre ne justifie cette frénésie anti-vitesse.

    Aujourd’hui encore, aucune étude scientifique n’établit de lien direct entre vitesse et mortalité routière. 

    Je sais que ça paraît invraisemblable, mais c’est la stricte vérité :

    aucune étude scientifique n’a jamais été menée en France pour vérifier le bien-fondé ou l’efficacité des mesures répressives anti-vitesse prises en 2003. 

    Les statistiques officielles de l’ONISR tendent même à prouver que les accidents de la route n’ont rien à voir avec la vitesse : 

    - On y apprend par exemple qu’entre 1998 et 2002, le nombre de décès sur les routes a diminué de 15 % (de 9 019 décès en 1998, on est passé à 7 742 décès en 2002). Et que pendant cette période, la vitesse moyenne de circulation a pourtant augmenté sur tous les types de réseaux : autoroutes, routes nationales et réseaux urbains. 

    - Et qu’en 2003, alors que le nombre de tués sur les routes a baissé de 26 %, de façon « historique » juste avant l’implantation des premiers radars – la vitesse de circulation est restée stable cette année là. 

    Malgré ces preuves indéniables, le discours du gouvernement et des associations anti-vitesse qu’il subventionne à 100 % est toujours le même. A chaque fois qu’il faut justifier une nouvelle mesure répressive, ils nous ressortent la même litanie :

    « 1 % de vitesse en moins, c’est 4 % de morts en moins » 

    C’est un dogme absolument infondé, mais très pratique : il permet de s’acharner sur la vitesse, et de faire passer le moindre petit dépassement de la limite autorisée pour un acte criminel.

    Ce qui, bien sûr, légitime la multiplication débridée des radars. 

    Le système est bien ficelé :

    un impôt vitesse camouflé derrière un dogme pseudo scientifique … 

    Et l’Etat peut tranquillement faire fructifier la cagnotte des radars, et la partager avec quelques entreprises bien implantées et proches du pouvoir. 

    Car derrière les radars, c’est tout un business qui s’est développé pour orchestrer le racket des conducteurs... 

    Dès l’origine, le gouvernement fait appel à des sociétés privées pour mettre en place sa nouvelle politique de répression routière. 

     

    Excellente affaire pour quelques entreprises triées sur le volet. Le gouvernement leur ouvre du jour au lendemain des marchés colossaux totalement garantis. Une situation de rente pour quelques privilégiés – beaucoup d’argent et aucun risque. 

    La première tranche de travaux est si profitable que les entreprises concernées refuseront toujours de communiquer le montant des marchés signés avec l’Etat. Atos invoquera même le « Secret Défense » pour se soustraire aux questions embarrassantes des journalistes. 

    Mais en recoupant toutes les informations disponibles, on peut se faire une idée des montants en jeu.

    Et ils sont colossaux. 

    Ainsi, rien que pour la première tranche des travaux, l'Etat aurait versé :

    - 42,5 millions d’euros pour SAGEM Sécurité, filiale du groupe SAFRAN, qui fournit les 100 premiers radars ;

    - 41 millions d’euros pour Amec Spie qui installe et entretient les radars ;

    - 70 millions d’euros pour Atos Origin, multinationale spécialisée dans les nouvelles technologies, qui s’occupe d’identifier les automobilistes flashés et du recouvrement des PV ;

    - 26 millions d’euros pour Asphéria, filiale de La Poste, qui édite les PV, les met sous plis et les envoie ; 

    Et les montants n’ont fait que grossir chaque année. Pour la seule année 2011, ce sont désormais plus de 231 millions d’euros que vont se partager les entreprises liées au business des radars. 

    Tous les trois ou quatre ans, les contrats sont renouvelés quasiment automatiquement ! Pour les entreprises, c’est tout bénéf. 

    La machine est lancée. Les radars vont se multiplier à toute vitesse. 

    Fin 2011, 3 724 radars automatiques seront installés sur tout le territoire. 

    1 000 de plus fin 2012 ! 

    Plus 4 000 radars pédagogiques promis par Claude Guéant dans les années qui viennent. 

    Le gouvernement investit des sommes folles dans des radars de plus en plus nombreux et toujours plus sophistiqués : 

    Radars fixes, radars mobiles, radars tronçons capables de calculer la vitesse moyenne de circulation sur une distance donnée, radars discriminants capables de distinguer les poids-lourds des véhicules légers, contrôles sophistiqués de l’inter distance entre deux véhicules, avec caméras et détecteurs lasers disséminés le long des routes ; radars feux rouges, radars pour passages à niveau..

    Sans parler des radars de dernière génération embarqués dans des voitures ou sur des motos se fondant dans le flot de la circulation. 

    Encouragé par les entreprises qui exploitent les radars, le gouvernement est en train de mettre en place un système de répression routière et de contrôle des citoyens, à une échelle encore jamais vue. 

     

    Avez-vous déjà entendu parler du CNT, le Centre National de Traitement des Infractions, à Rennes ? 

    C’est une pièce maîtresse du dispositif de flicage à grande échelle que le gouvernement et les sociétés exploitant les radars sont en train de mettre en place pour mieux nous racketter. 

    Sur les 450 personnes qui travaillent au CNT de Rennes, plus des deux tiers sont employées par les entreprises privées que je vous ai mentionnées 

    Chaque petit dépassement de vitesse enregistré par un radar n’importe où en France est traité dans cette énorme « Usine à PV » 

    Sur ce plateau, les opératrices saisissent 500 plaques d’immatriculation par heure. 

    Un supérieur les valide à la chaîne, puis tout est imprimé par une machine qui crache en permanence des milliers de procès verbaux. Ces piles de documents passent ensuite sur un tapis pour être automatiquement pliées, mises sous enveloppes, et envoyées directement dans votre boîte aux lettres. 

    Près de 60 000 PV sont ainsi expédiés chaque jour. 

    Ce système est tellement lucratif que le centre s’est agrandi. A côté du premier CNT de 3 500 m2, un CNT 2 de 11 000 m2 supplémentaire a été construit. 

    Car il est prévu de traiter très prochainement TOUTES les infractions routières, pas seulement celles des radars, dans ce centre automatisé, grâce au PV électronique 

    Des premiers essais de ce PV électronique sont déjà en cours dans plusieurs régions de France. Peut-être avez-vous déjà eu la malchance d’y être confronté... 

    C’est un système qui a été mis en place spécifiquement pour « rentabiliser » les PV.

    Que ce soit pour un stop glissé, un clignotant oublié, un feu passé à l’orange, ou toute autre infraction minime, les policiers et gendarmes n’ont plus besoin de vous arrêter pour dresser un procès verbal manuscrit.  

    Il leur suffit désormais de tapoter sur une tablette numérique, et le PV est envoyé instantanément au CNT de Rennes, où il est traité puis envoyé directement dans votre boîte aux lettres. 

    Vous recevrez l’avis de contravention plusieurs semaines plus tard, et que vous vous rappeliez ou non la situation qui vous a valu ce PV, vous devrez obligatoirement passer à la caisse.

    Vous l'avez compris : plus la répression est automatisée et systématique, et plus les grandes entreprises qui entretiennent ce système profitent de l'argent des conducteurs. 

    Mais il y a plus grave : en misant tout sur les radars et la répression automatique, l'Etat ne s'attaque pas seulement à votre portefeuille :

    il sacrifie votre sécurité sur la route. 

    Ces deux dernières années, alors qu'il dépensait des millions et des millions dans l'achat et l'entretien des radars, et le développement de nouvelles technologies répressives, le gouvernement a décidé de "faire des économies" en coupant directement dans les budgets d’entretien des routes. 

    Peut-être n’avez-vous pas entendu parler de ce scandale ? 

    En seulement deux ans, le gouvernement a divisé par 2 le budget alloué à l'entretien des routes nationales et départementales.

    On est passé de 424 millions d'euros en 2009 à 227 millions en 2011. 

    C'est pourtant sur ce type de routes qu'ont lieu 3 accidents mortels sur 4 ! 

    Combien de vies auraient pu être épargnées si l'Etat avait entretenu les routes au lieu de mettre de l'argent dans l'achat de nouveaux radars ? Des conducteurs sont envoyés dans le décor à cause d'un nid-de-poule ou d'une chaussée déformée. Des familles entières sont ainsi brisées. 

    Mais tout cela est laissé de côté par le gouvernement, qui préfère diaboliser la vitesse. 

    Si, aujourd'hui, je vous révèle toutes ces vérités sur la répression routière, ce n'est pas pour vous démoraliser. Au contraire : je veux vous proposer d'agir, ensemble, contre ces dérives intolérables de la répression routière. 

    Le but de notre association, la Ligue de Défense des Conducteurs, est d'alerter l'opinion publique, les médias, les hommes politiques, et faire entendre la voix des conducteurs. 

    Notre objectif : 

    En finir avec le business des radars et l'inconscience du gouvernement qui sacrifie notre sécurité sur les routes, et revenir à une politique de sécurité routière qui sauve vraiment des vies. 

    Parmi les 60 radars qui flashent le plus en France, 50 sont sur autoroute, le type de réseau le plus sûr du pays. 

    Ce n'est pas en laissant faire ce racket qu'on empêchera les accidents sur la route. 

    C'est pourquoi la Ligue de Défense des Conducteurs veut rassembler un maximum de citoyens responsables comme vous, pour faire barrage aux dérives de la répression routière.  

    Nous ne devons plus accepter de nous faire traiter comme des vaches à lait. 

    Un gendarme confiait récemment à notre association que les forces de l'ordre ont carrément des quotas de PV à remplir sur le dos des conducteurs :

    "On exige de nous du rendement immédiat, et surtout… rentable. Persécuter l'automobiliste qui a roulé à 52 km/h plutôt qu'à 50, parce que ces infractions, ça rapporte. On doit faire du chiffre, des « bûchettes » comme on dit chez nous" 

    Il n'est pas tolérable que la répression contre les conducteurs soit devenue la plus virulente de tout le système judiciaire, et que l’Etat mobilise des brigades entières de gendarmes « en planque », pendant des heures, dans leur voiture ou derrière leurs jumelles-radars, alors que les forces de l’ordre manquent de moyens et de personnel pour arrêter les voyous et les voleurs. 

    Bien entendu, une personne seule ne peut rien contre ce système. 

    Mais des dizaines, des centaines de milliers de citoyens organisés, faisant front commun, peuvent faire changer les choses ! 

    Par expérience, je sais que, lorsque les conducteurs se mobilisent massivement, ils peuvent obtenir gain de cause. 

    Si vous pouvez encore rouler à 130 km/h sur autoroute, c’est parce qu’en juillet 2009, la mobilisation des conducteurs face à l’annonce du 110 km/h a été immédiate et massive. Le gouvernement a dû reculer... 

    Fin 2010 : à la suite d’un combat intensif mené par les conducteurs durant 4 mois, les députés ont réduit à six mois le délai de récupération des points perdus pour petits excès de vitesse. 

    Juin 2011 : après une manifestation et une forte mobilisation des conducteurs à travers toute la France, le gouvernement est contraint de renoncer à ne plus signaler les radars fixes... 

    Aujourd'hui, si vous recevez cette vidéo, c'est parce que les membres de la Ligue de Défense des Conducteurs ont réuni les fonds nécessaires pour la concevoir et la diffuser et vous demander de participer à notre Enquête nationale sur la Sécurité Routière. 

    Les résultats de cette Enquête seront communiqués aux médias, insi qu'aux députés, au gouvernement et au Président de la République. Nous devons les submerger d'Enquêtes pour qu'ils prennent conscience de l'ampleur du ras le bol des conducteurs.  

    C'est pourquoi la participation de chacun est cruciale. 

    Après avoir rempli votre Enquête, vous aurez la possibilité de faire un don à notre association.  

    Cela peut vous paraître superflu, mais c'est en réalité essentiel pour le combat que nous devons mener ensemble. 

    En effet, pour obtenir des résultats, nous devons multiplier les actions qui demandent un énorme travail en amont :  

    Information et sensibilisation des parlementaires : de nombreux députés prêtent une oreille attentive à nos arguments, et nous multiplions les rendez-vous à l'Assemblée nationale pour faire voter des lois qui vont dans le sens des conducteurs. C'est grâce à ce type de travail continu que nous avons pu faire déposer une proposition de loi, cosignée par une centaine de députés, qui améliorera la formation des conducteurs. Il s'agit d'intégrer de la conduite sur piste dans les stages de récupération de points, jusqu’ici entièrement théoriques. 

    Mobiliser l'opinion publique : la Ligue de Défense des Conducteurs organise des campagnes nationales de pétitions à chaque fois que le gouvernement veut encore resserrer l'étau autour des conducteurs. Au printemps dernier, notre pétition contre le démontage des panneaux signalant les radars a recueilli plus de 120 000 signatures en quelques semaines. 

    Faire passer nos idées dans les médias : nous devons mener un travail intense auprès des journalistes pour qu'ils citent nos travaux, reprennent nos arguments en faveur des conducteurs et donnent la parole à nos experts. Pour développer notre mouvement, il est indispensable de créer un débat public sur la répression routière. 

    Etudes et recherches sur la sécurité routière : notre association est en train de constituer un comité d'experts (accidentologues, assureurs, ingénieurs...) pour étudier en profondeur les causes d'accidents. Nous pourrons ainsi, non seulement démolir une bonne fois pour toutes le dogme anti-vitesse qui justifie la répression insensée que le gouvernement nous fait subir, mais surtout proposer des réformes qui permettraient vraiment de sauver des vies sur la route. 

    A tout ceci s'ajoutent les frais de dépouillement des Enquêtes, des courriers, l'envoi d'informations régulières aux membres de l'association, ainsi que les frais de téléphone, d'internet, et le loyer de nos bureaux. 

    Sans le soutien financier des membres de l'association, nous ne pourrions jamais financer tout cela. Mais si nous voulons étendre notre mouvement, nous allons avoir besoin de l'aide du plus grand nombre de citoyens possible. 

    La Ligue de Défense des Conducteurs ne reçoit aucune subvention publique, ni d'aucune autre organisation d'ailleurs. Cela nous permet de garder notre indépendance et de pouvoir contester librement la politique répressive du gouvernement. 

    C'est pourquoi je me permets de vous demander d'aider à financer tout ce travail. Notre association ne peut compter que sur des citoyens responsables comme vous pour agir.

    C'est vous, et vous seul, qui déciderez du montant du montant utile pour nous aider. 

    Votre don peut être de 5 ou 10 euros. Vous pouvez aussi donner 50 ou 100 euros. Souvent les gens donnent 20 ou 30 euros. Chacun participe en fonction de ses possibilités, et c'est ça qui est important.  

    Si les conducteurs ne s'organisent pas dès aujourd'hui pour faire front commun contre la politique de répression routière scandaleuse qu'on nous impose, au détriment de notre sécurité sur la route, le gouvernement continuera dans sa lancée.  

    Maintenant, c'est à vous de décider. 

    Vous pouvez laisser le gouvernement continuer son racket sur les conducteurs raisonnables pour le plus grand profit d'un business florissant.

    Vous pouvez le laisser sacrifier votre sécurité en n'entretenant plus les routes, et en focalisant sa politique routière sur la répression au détriment de la prévention et la formation. 

    Si c'est votre choix, vous pouvez fermer cette vidéo et laisser la situation sur les routes se dégrader. 

    Si au contraire, vous décidez qu'il est grand temps que les conducteurs de ce pays s'organisent pour faire barrage, tous ensemble, aux dérives de la répression routière. 

    Si vous êtes prêt à rejoindre un grand mouvement de résistance, organisé de façon professionnelle, regroupant déjà 28 000 citoyens, pour qu'ensemble on fasse changer les choses. 

    Alors je vous demande de cliquer ici pour participer à l'Enquête nationale sur la sécurité routière organisée par la Ligue de Défense des Conducteurs, ainsi que de faire un don à notre association. 

    Après avoir répondu à votre Enquête, vous pourrez faire votre don à l'association en toute sécurité, sur une page bancaire de paiement en ligne. 

    Ce don est parfaitement libre. Il n'est pas obligatoire.

    C'est vous qui décidez, ou non, de soutenir notre travail pour organiser la résistance aux excès de la répression routière. En tout cas, si vous décidez de nous aider à financer ce mouvement, votre contribution sera un apport précieux.  

    Notre mouvement a été créé il y a deux ans. Depuis, 28 000 citoyens sont venus grossir nos rangs et soutenir nos actions. Grâce à leur générosité, nous avons pu faire de la Ligue de Défense des Conducteurs le premier grand mouvement national de résistance aux dérives de la répression routière.

    C'est grâce à eux que notre organisation acquiert chaque jour un peu plus de notoriété, auprès des médias comme source d'information et auprès des hommes politiques comme force de proposition.  

    Il n'y a pas de miracle : si un grand nombre de conducteurs ne se mobilisent pas maintenant pour dire STOP à la répression insensée qu'ils subissent sur les routes, et soutenir financièrement notre mouvement, alors notre association n'aura pas les moyens de continuer le combat. 

     

    Tout dépendra de ce que vous décidez maintenant.

    Je vous remercie d'avance.

    Bien à vous, 

    Christiane Bayard

    Secrétaire Générale

    Ligue de Défense des Conducteurs

     

     

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  • Papy, alias le "Rambo de la photo". « Rambo, Rambo, Rambo de pacotille que tu es » s'écrie soudainement Mamy en surgissant dans mon dos. « Mais Mamy t'as rien compris, Rambo comme guerrier de cinéma et photo comme la moitié d'un photographe, c'est de l'humour ». « a bon, t'es si nul ...». Bon revenons à nos moutons. Donc Rambo, heu ! Papy et Mamy après une dure journée de plage  décidèrent d'un commun accord d'attendre 22h00 pour immortaliser Le coucher de soleil sur l'Atlantique. Gros effort, car demain dés 05h00, l'adjudante des arènes nous attend de pieds fermes. Il faudra qu'un de ces jours je vous en parle...

    rocher vierge 

    C'est sur l'initiative de Napoléon III qu'a été percé ce rocher, qui devait servir de base à la construction d'un port-refuge. En 1865, une statue de la Vierge, achetée à l'exposition franco-espagnole de Bayonne (ateliers Ducel), y a été installée. L'ancienne passerelle en bois a disparu en 1887 pour céder la place à une passerelle des ateliers Eiffel, sur laquelle il est déconseillé de s'aventurer par gros temps. De ce rocher, on peut admirer toute la côte.

     

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  • 22 Juin 2012, un temps de chien, bruine et petit vent frisquet, mais ce n'est pas cela qui va arrêter un vieux briscard comme Papy. Après une remise en condition tactique, direction la plage de MIOLLETS dans les Landes.

    Ce n'est pas un temps à sortir un "Canon", mais un sac plastique et un parapluie vont le tropicaliser illico presto. Mamy veille au grain. Oups !!! Je crois qu'il arrive là,... à l'horizon.

    Pas de temps à perdre, je cours (sur une jambe, Lol ! ! !), virevolte, Clic! Clac!, je shoot clopin, clopan, un pécheur par ici, un surfeur par là et deux CRS palmés en prime....curieux spectacle qui s'offre aux yeux ébahis des rares étrangers... , un éclopé armé jusqu'au dents de curieux appareils qui s'entrechoquent...chapeau de cow-boy sur la tête, ray-ban en position de combat, poursuivie par le parapluie de mamy...«Hi ! Papy "Etre et durer" belle devise mais plus de circonstance». Et tout ça pour quoi ? Pour les photos ci-après qui reflètent la morne plage...que je ne trouve pas terrible, mais je n'ai rien de mieux, et puis un point c'est tout.

    surfeur-miollets.jpg

     pecheur bis miollets

     pecheur-Miollets.jpg

    Sauveteurs de la police nationale à l'entrainement. "Force et Courage"' sauveteurs-miollets.jpg

     

     

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  • Cet article est tiré du site de la ligue de défense des conducteurs. Cette association combat les dérives gouvernementales qui privilégient une répression aveugle afin d'engranger des recettes colossales que certains proches du pouvoir précédent partagent avec des compères du privé au détriment de la véritable sécurité routière. Exemple: les crédits dédiés a l'entretien des nationales (voies ou ont lieu la majorité des accidents mortel) ont été divisé par deux pour financer les radars...
    Aprés avoir lu cet article qui vous scandalisera surement, n'hésiter pas a cliquer sur ce  lien  pour visiter le site de la LIGUE.

    Pour info si vous recevez une-mail semblable à cet article, ce n'est pas un Hoax.

     

    Ethylotests obligatoires :
    le nouveau business de la sécurité routière
     

    … ou comment la sécurité routière peut rapporter d'énormes bénéfices aux entreprises qui savent tirer les bonnes ficelles ! 

    Voilà un scandale qui, s'il était connu d'un grand nombre de Français, ferait sans doute une onde de choc à travers tout le pays...  

    Vous savez sans doute que le gouvernement a récemment publié un décret qui oblige chaque automobiliste à détenir dans sa voiture un éthylotest – enfin deux, l'un pour se tester en cas de doute, et l'autre à présenter aux gendarmes en cas de contrôle. 

    Officiellement, le but est de lutter contre l'alcoolisme au volant. Tout le monde aimerait voir moins de drames sur la route liés à l'alcool, c'est incontestable. Mais je vais vous montrer qu'il s'agit de bien autre chose ici... 

    L'affaire est tellement scandaleuse qu'il fallait absolument que je vous envoie un mail pour vous informer ! 

    Alors, voilà ce qui se passe : 

    En juillet, une association, "I-Test" se crée pour militer en faveur d'éthylotests obligatoires dans toutes les voitures. Ils interpellent le Ministre de l'Intérieur, Claude Guéant, et hop quelques mois plus tard le décret sort. La nouvelle infraction est créée, avec une amende de 17 euros à la clef. 

    Quand on sait qu'il faut des années d'habitude pour obtenir quoi que ce soit quand on est une association, nous avons été saisis par cette rapidité !  

    Vous le savez, ici à la Ligue de Défense des Conducteurs, nous enquêtons depuis plus de trois ans sur la répression routière – il ne nous a pas fallu longtemps pour découvrir le pot aux roses ! 

    Qui sont les membres de cette "association" ? S'agit-il, comme on aurait pu le croire, d'un collectif de familles qui ont perdu un proche sur la route à cause d'un chauffard qui avait trop bu ? 

    Pas du tout : ce sont tout simplement... des fabricants d'ethylotests ! Le Président de "l'association" est chargé de mission chez Contralco, le plus grand fabricant d'éthylotests chimiques (les fameux "ballons"). 

    Et là, il vient de réussir un coup de maître : assurer à sa boîte un marché 100 % garanti sur 38 millions de voitures ! 

    Le calcul est vite fait : 38 millions de voitures x 2 éthylotests à 1€ pièce = 76 millions d'euros garantis dès l'application du décret en juillet prochain. 

    Mieux. Le décret comporte une obligation de norme NF pour les éthylotests... norme que seules deux entreprises détiennent : Contralco, et une société sud-africaine, Red Line Products. 

    Son éthylotest certifié est distribué par Pelimex, entreprise dont le dirigeant est... Vice-Président de I-Tests. 

    Ah, au fait ! Dans le comité de certification NF éthylotest, on retrouve les deux représentants de Contralco et Pelimex dont je viens de vous parler. 

    Voilà : un marché juteux, 100 % garanti, qui va rapporter des millions...  

    ... Et nous, on vient nous dire que c'est pour notre sécurité ? Et que si l'éthylotest venait à manquer dans notre boîte à gants, ce serait tellement grave qu'on devrait payer une amende ?  

    Franchement, de qui se moque-t-on ? 

    C'était déjà la même chose avec les radars : au départ ils sont venus nous dire que c'était pour notre sécurité, et il n'y avait pas de raison de ne pas y croire. Enfin, au début... 

    Car vu les bénéfices colossaux que raflent maintenant, chaque année, les grandes entreprises qui installent et entretiennent les radars (plus de 200 millions d'euros par an, directement issus de vos PV), qui peut encore venir nous parler de sécurité ?? 

    Année après année, les pouvoirs publics tirent un peu plus sur la corde, en se disant que ça va passer, que les Français ne vont rien dire... Alors depuis 2003 et la mise en place des premiers radars vitesse, on a eu les radars feu rouges, les radars tronçon, les radars discriminants, les radars "zones de chantier", les radars mobiles embarqués dans des véhicules en mouvement, etc... L'Etat fait rentrer de plus en plus d'argent, et la cagnotte des entreprises productrices de radars gonfle, gonfle... 

    Ces entreprises sont devenues tellement puissantes que, désormais, elles ne se cachent même plus pour faire leurs magouilles : le fameux lobbyiste qui vient d'obtenir le marché du siècle,  avant de se lancer dans le business de l'éthylotest, dirigeait une société de radars ! C'est même lui qui a vendu les premiers radars feu-rouge au gouvernement ! 

    Quelques entreprises bien placées veulent grossir facilement leur chiffre d'affaire sans prendre de risque, ils sollicitent les pouvoirs publics, lesquels nous jouent la carte de la sécurité routière, et hop le tour est joué, le business est installé, et vous êtes ses clients forcés. 

    Comment en est-on arrivés là ? Tout simplement parce qu'à chaque fois qu'ils tiraient un peu plus sur la corde, aucune voix ne s'élevait assez fort pour que ça fasse scandale et que ça s'arrête. 

    Mais tout cela n'a que trop duré : quel autre business vont-ils réussir à implanter demain ? L'éthylotest anti-démarrage obligatoire dans toutes les voitures (coût : 1000 euros par véhicule) ? Des boîtes noires comme dans les avions, ou la géolocalisation obligatoire ? 

    Ne vous en faites pas pour eux : ils trouveront toujours un prétexte de sécurité routière pour donner mauvaise conscience à ceux qui voudraient contester. 

    En vérité, c'est eux qui devraient avoir honte de leurs pratiques. Agiter sous le nez des gens des images horribles d'accidents, profiter du deuil des familles des victimes, pour engraisser un business juteux, ce sont des pratiques inqualifiables ! 

    Mais tant que des millions de Français ne leur auront pas fait savoir à quel point ils sont indignés, rien ne les arrêtera. 

    Nous devons agir dès maintenant, c'est pourquoi je vous demande de m'aider à faire connaître ce scandale au plus grand nombre de Français possible, en faisant passer ce message à tous vos amis, vos proches, ou vos collègues. Ne les laissez pas tomber dans le piège de la propagande des pouvoirs publics qui utilisent la sécurité routière comme un alibi pour engraisser un business juteux. 

    Je vous remercie. 

    Bien cordialement, 

    Christiane Bayard
    Secrétaire Générale de la Ligue de Défense des Conducteurs

     

     

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  • Dimanche 24 juin, un temps maussade règne sur le pays landais. Papy s'enquiquine, mamy tourne en rond. " Et s'y on faisait une petit tour de coté de Biarritz, histoire de se faire un surfeur ou deux". Branle bas de combat, j'arme le Canon 60 D pour arroser large, peaufine le Fujy pour les shoots lointain et pour assurer la défense immédiate je compte sur mon Panasonic. Papy prend le volant du command car pendant que mamy assure la navigation GPS. Le déplacement s'effectue en sureté. Pas d'ennemi à signalé.

    Biarritz est en vue. L'approche se fait en toute discrétion. Le commande car est planqué dans un souterrain et confié à la garde de la milice locale.
    Papy  prend les mesures
    de combat, le Canon en appui et le Fujy prêt à tirer. Mamy est en couverture, en mesure de dégainer le Panasonic au cas ou. Arrivé sur une hauteur que vois-je ? Des dizaines de points noirs qui glissent prestement sur les rouleaux. J'approche discrètement et me poste sur un promontoire, pendant que mamy met l'ennemi en déroute et occupe de vive force un banc bien mérité.

    Accoudé sur un parapet un 720 en position de tir, je shoot à plus de 200 m touts les surfeurs qui traversent ma ligne de mire. Mais les résultats ne sont pas terrible. Papy tu te fais vieux. Ou est le temps ou tu trouais un casque à 300 m d'une seule balle. Je contourne le promontoire pour atteindre la plage, rampe sur le sable et shoot à moins de 100 m les surfeurs qui me foncent droit dessus. Le combat s'éternise, mamy s'impatiente et papy est obligé d'effectuer un repli stratégique vers une base logistique avancée, ici ils appellent ça un salon de thé...Ils sont fous ces basques...Un salon de thé, n'importe quoi...

    Certes les trophées sont moyens, à cause de la météo et dune technique non maitrisée, mais q'importe c'est un papy tout joyeux qui regagne sa base opérationnelle...
    Demain réveil 05h00....pour affronter " l'Adjudante "....des arénes...dur! dur!...Mais ceci est une autre histoire.

    Pour tout connaitre sur le surf à Biarritz cliquez sur les photos

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  •   Lors d'une ballade dans les environs de DAX, je suis tombé par hasard sur l'église fortifiée de MONTFORT EN CHALOSSE et à ma grande surprise je ne l'ai point trouvé dans le blog du Chevalier Dauphinois. Si vous aimez les vieilles pierres, blog que je vous conseille vivement de visiter.

    N'étant point un expert des églises fortifiées je ne prendrai pas le risque de commenter et me contenterai de vous présenter quelques photos que j'ai prise avec dévotion et amour.

    Cette église qui porte des traces de fortification de plusieurs époques, dont une meurtrière à mousquet est ouverte de 08h00 à 19h00, mais hélas je suis arrivé trop tard.

    Pour en savoir plus cliquez sur les photos.    Montfort-en-chalose.jpg

    Sans-titre-1-copie-3.jpg

    Sans-titre-2.jpg

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      église montfort en chalose

     

     

     

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    Les arènes du parc Théodore Denis furent édifiées en 1913. Jusqu’au XVIIIème siècle, les courses avaient lieu dans l’actuelle rue des Fusillés. Mais, à la fin du XVIIIème siècle, elles furent officiellement autorisées par le gouverneur de Guyenne, à la condition que la place fut « close et fermée de barrières » pour éviter les accidents. Les courses de taureaux se déroulèrent dès lors à l’emplacement de l’ancien couvent des Cordeliers qui devint, par la suite, la place de la Course (face à La Poste). En 1857, lors de la venue de Napoléon III, les arènes avaient la forme d’un fer à cheval long d’une quarantaine de mètres et d’une contenance de 2 000 places environ.

     C’est dans cet amphithéâtre qu’eut lieu en 1894 un fait historique mémorable : la ville de DAX maintient ses courses de taureaux malgré des interdictions préfectorales… intervient alors un commissaire de police chargé d’interrompre la corrida… le taureau en piste charge le représentant de l’ordre qui prend la fuite suivi de près par l’animal… le torero landais Félix Robert le rattrape et l’achève dans une rue dont le nom (rue du Toro) commémore l’incident. Les courses se déroulèrent dans ces arènes en bois jusqu’en 1912.

    Le 10 mai 1913, les arènes actuelles en ciment étaient inaugurées par le maire, Octave Lartigau. Elles comptaient 5 500 places. En 1932, le maire Eugène Milliès-Lacroix, inaugura les arènes agrandies qui portèrent la capacité totale à 8 000 places. La rénovation de 2003 a permis de mettre en valeur la façade principale de l’édifice avec sa blancheur crue et son style andolou évoquant un peu les plazas de toros de Séville, de Cordoue et de Grenade, ainsi que la superbe sculpture représentant une tête de taureau qui surplombe l’entrée principale.

     

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  •  Si d'aventure un jour vous passez dans les Landes et que vous ayez une journée à combler, alors n'hésitez pas, aller vous balader en barque  sur le COURANT D'HUCHET.

    Le courant d'huchet est un petit cours d'eau, véritable cordon ombilical, qui relit l'étang de LEON à l'océan atlantique. Ce site naturel est riche en histoire, en traditions et en habitats pour la faune et la flore. Il est à ce jour le seul cours d'eau du golfe de Gascogne dont l'embouchure n'a pas été stabilisée par des travaux d'endiguement.

    Classé réserve naturelle depuis 1981, c'est un site unique d'une grande richesse botanique. Sa superficie est de 618 ha.

    Pour accéder au site de la réserve naturelle, cliquer sur la photo ci-dessous. 

    LEON courant d'Huchet 001

     L'étang de LEON est coupé en deux. La moitié Ouest est classée réserne naturelle, tandis que la moitié Est fait le bonheur des pécheurs, des chasseurs, des amateurs de canoé et des baigneurs. 
    LEON lac du courant d'Huchet 2 001

     Seul possibilité pour visiter le site c'est d'embarquer sur une Galupe (barque traditionnelle à fond plat) manœuvrée à la rame par un batelier professionnel.

    véritables "galériens" ils rament 4h00 par jour sous un soleil de plomb pour le plus grand plaisir des passagers. Sur la photo l'étang de Léon avec en point de mire l'entrée du "courant"

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     L'entrée du courant d'Huchet

    LEON-courant-d-Huchet-007.jpg

      Navigation sous les frondaisons. LEON courant d'Huchet 073

     Les passagers se tassent au fond de la barque pour passer sous un tronc d'arbre.

    LEON-courant-d-Huchet-033.JPG

     Passage d'une partie délicate à fort contre courant, les passagers ont débarqué et suivent la rive pendant une centaine de mètres avant de réembarquer. Sans-titre-1.jpg

        L'arrivée du courant sur la plage de MIOLETS embouchure du courant d'huchet1

      L'embouchure naturelle du courant.ferme-de-polayer-018BIS.jpg

     HISTOIRE:

    En 1905 Maurice MARTIN organise deux expéditions d'Arcachon à Biarritz afin de promouvoir le littoral aquitain qu'il baptise la Cote d'Argent. Pour ce faire il invite la presse nationale et régionale. Les premières descentes ont lieu à cette époque. Le formidable coup de publicité qui s'en suit engendre une demande de plus en plus forte ce qui amène les pécheurs du la à s'organiser (1908). En 1911 J.-H ROSNY invite des gens de lettres et artistes dont son frère, Paul Margueritte ( tous trois membre du premier jury du prix Goncourt) et le très illustre Gabriele d'Annunzio à descendre le Courant accompagnés de Maurice Martin. Ces personnalités vanteront dans leurs écrits la beauté de ce site et sa renommée ira crescendo jusqu'à nos jours. Classé site protégé en 1932, le Courant d'Huchet devient une réserve naturelle en 1981. En 2008 les bateliers ont fêté le centenaire de leur organisation . A cette occasion ils ont édité un livre richement illustré d'environ 200 photos.

     

    OU CE TROUVE CETTE MERVEILLE:

    Coordonnées GPS: Latitude 45°53'9.88''Nord - Longitude 1°19'12.48''OUEST.

    Adresse du bureau des bateliers: 370 les berges du lac - 40550 LEON

    Téléphone: 05 58 48 75 39

    A 30 km de DAX - 150 kms de BORDEAUX - 150 kms de LOURDES.

     

     

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  • Un article de Jean-Marc Dupuis  

    Tandis que le club des journalistes parisiens nous bombarde de gros titres sur le dernier tweet de Valérie Trierweiler (passionnant !), les mésaventures de Ségolène (navrant !), le départ de Laurence Ferrari (émouvant !) ou encore les déclarations des (ir)responsables européens sur la crise des dettes publiques, la situation à Fukushima tourne à la catastrophe sans que cela ne mérite une ligne dans nos journaux ni même quelques secondes d'antenne.

    Et pourtant, si l'objectif des journalistes officiels est de « vendre du papier » ou « faire de l'audience », puisque beaucoup d'entre eux ne s'en cachent même plus, parler de ce qui se passe réellement à Fukushima leur permettrait d'exciter les foules, à juste titre pour une fois.

    Mais pour l'instant, c'est le silence... de mort.

    Une question de survie de l'espèce humaine

    Lorsque la centrale nucléaire de Fukushima fut ravagée par le tremblement de terre puis le tsunami en mars 2011, les autorités japonaises et les agences spécialisées dans le nucléaire ont eu une seule priorité : minimiser de façon obscène l'impact sanitaire de la catastrophe, pour empêcher tout mouvement de panique.

    L'explosion d'une centrale nucléaire libère pourtant dans l'atmosphère une grande quantité de radionucléides radioactifs. Il en va de même des retombées radioactives après l'explosion d'une bombe atomique ou d'une « bombe sale ». L'un des composés radioactifs les plus communs est alors l'iode 131 (131I). Et c'est ce qui s'est passé à Fukushima (plus à ce sujet ci-dessous).

    Par chance, il existe un moyen rapide, très efficace, très bon marché, et sans effets indésirables graves, d'immuniser votre organisme contre l'iode 131, ce qui n'est pas le cas des autres composés radioactifs (césium par exemple).

    Il vous suffit de prendre, dans les deux heures qui suivent l'accident nucléaire, un comprimé d'iode, ou de vous badigeonner 2 mL de teinture d'iode sur la peau (1 mL pour les enfants). Si vous n'avez pas d'iode dans votre armoire à pharmacie, vous pouvez utiliser de la bétadine, en doublant la dose. L'application est à renouveler trois jours plus tard. De cette façon, vous saturez votre corps d'iode non radioactif et vous diminuez de 97 % votre absorption d'iode radioactif, et ce sans effets indésirables graves.

    En effet, votre glande thyroïde est programmée pour emmagasiner et concentrer rapidement l'iode qui passe à sa portée. Si c'est de l'iode radioactif, votre thyroïde l'absorbera et vous serez exposé à des rayonnements internes, qui augmenteront votre risque de cancer de la thyroïde et de nodules bénins. Les enfants et les bébés sont encore plus vulnérables que les adultes.

    Mais si votre thyroïde est déjà saturée d'iode non radioactif, alors votre corps n'en absorbera plus. Et vous pouvez obtenir ce résultat en vous badigeonnant de la teinture d'iode sur votre peau.

    Cela ne coûte quasiment rien. Mais encore faut-il en avoir dans son armoire à pharmacie.

    Attention, il existe des dangers à utiliser de la teinture d’iode, qui n’est pas un produit anodin. Il convient, avant de l’utiliser, de demander l’avis d’un médecin ou d’un pharmacien. Il ne faut pas l’associer à des antiseptiques à base de mercure. Les femmes enceintes et les bébés de moins d'un moins ne doivent pas l'utiliser sans avis médical. De même, toute personne qui présente une certaine sensibilité à l'iode, qui est atteinte d'une maladie thyroïdienne et qui souffre de troubles cardiaques ne devrait pas s'appliquer de teinture d'iode.

    Il est vital d'agir rapidement

    La rapidité d'administration de l'iode après une exposition à de l'iode radioactif est un facteur décisif d'efficacité. L'effet protecteur est de 97 % lorsque la teinture est administrée au moment de l'exposition, mais passe à 85 % une heure après, et à 50 % entre 3 et 4 heures après l'exposition. Après 6 heures, vous êtes « out ».

    Pour ces raisons, il semble raisonnable de vous préoccuper aujourd'hui de mettre dans votre armoire à pharmacie une bouteille de teinture d'iode. Il ne vous en coûtera que quelques euros.

    La bombe à retardement n'est pas du tout désamorcée

    Contrairement à ce qu'ont reconnu les autorités au moment de l'accident, des dizaines de milliers de personnes au Japon et dans le Pacifique ont été affectées par les émissions de césium 137 radioactif suite au tsunami de mars 2011. Des déchets de la centrale de Fukushima ont été retrouvés jusque sur les côtes de la Californie. Alors qu'on craignait que l'accident fût pire que celui de Tchernobyl dans les jours qui suivirent, personne n'imaginait à quel point ce serait pire en effet.

    Si les estimations actuelles sont exactes, Fukushima a déjà relâché autant de radiations dans l'atmosphère que Tchernobyl. La différence est que la société TEPCO et le gouvernement japonais n'ont pas voulu construire de sarcophage en béton autour de la centrale, comme ce fut fait par les soviétiques, à un coût humain il est vrai gigantesque.

    Aujourd'hui, on se retrouve donc avec des installations nucléaires à nu, et le risque d'un désastre encore dix fois plus grand si un nouveau tremblement de terre devait se produire. Ce scénario est malheureusement probable dans cette région à forte activité sismique.

    Nous sommes donc aujourd'hui à la merci de la nature. Le gouvernement japonais le sait, et prépare actuellement des plans pour l'évacuation totale de l'agglomération de Tokyo, un exode aux conséquences humanitaires apocalyptiques qui concernerait 40 millions de personnes ! En fait, d'immenses territoires aujourd'hui densément peuplés dans l'hémisphère nord deviendraient inhabitables, pour des siècles voire des millénaires.

    Nier les faits ne sert à rien

    Il n'existe aucun moyen de nier cette réalité. Prétendre que la menace n'existe pas ne peut ni écarter le danger, ni vous protéger vous et votre famille. Le seul effet sera de vous laisser démuni le jour où le désastre se produira.

    Il faut que vous ayez en tête les faits suivants :

    La centrale de Fukushima-Dai-Ichi contenait six réacteurs nucléaires. Le tsunami du 11 mars 2011 provoqua l'inondation des générateurs produisant l'électricité du système de refroidissement, ce qui entraîna, dans les jours qui suivirent, la fusion de trois réacteurs sur les six (« full melt down »).

    Chacun d'entre eux va alors connaître des explosions d'hydrogène, qui détruiront leur toit et leur partie supérieure.

    À partir de ce stade, des rejets massifs vont se produire dans l'atmosphère et l'environnement. Le gouvernement japonais prend alors une décision dramatique : demander que de l'eau de mer soit utilisée pour refroidir les réacteurs, ce qui acheva de les détruire complètement, et à relâcher des millions de litres d'eau contaminée dans le Pacifique.

    La catastrophe fut donc classée au niveau 7 (le plus élevé) de l'échelle internationale des événements nucléaires.

    Le cauchemar des piscines

    Mais la pire menace actuellement concerne les « piscines ».

    Il faut savoir que, dans une centrale nucléaire de type Fukushima, les barres de combustible usé sont stockées dans des piscines remplies d'eau. Ce combustible émet des rayonnements qui sont extrêmement dangereux pour l’homme et dégage une énorme chaleur. Dans les conditions normales, l’eau permet de bloquer les rayons, et de refroidir les barres de combustible usé. Des machines permettent en outre d'examiner les barres, de les déplacer, etc.

    Le problème est que, suite à l'accident, le système de refroidissement a cessé de fonctionner, ce qui a d'abord produit l'évaporation de l'eau puis un incendie dans la piscine du réacteur n°4, produisant de nouvelles émissions de vapeurs radioactives. Les installations pour déplacer les barres ont été détruites. Aujourd'hui, plus aucun être humain ne peut s'approcher de ces piscines.
    Une catastrophe imminente ?

    Aujourd'hui, mardi 19 juin 2012, la radioactivité a tellement monté dans la piscine n°2 qu'il n'est plus possible de la mesurer. (Oui, vous avez bien lu : la radioactivité est trop forte pour être mesurée). L'eau étant en train de s'évaporer, la chaleur et les radiations pourraient augmenter fortement et déclencher de nouveaux incendies.

    La piscine n°4 est à 30 mètres au-dessus du sol et elle est exposée à l'air libre. La structure qui l'entourait et qui la soutenait est fortement endommagée. Si un nouveau tremblement de terre se produisait et qu'elle s'effondrait ou se mettait à fuir, un incendie radiologique catastrophique se produirait qui pourrait provoquer des émissions de Césium dix fois supérieures à Tchernobyl.

    Il est de plus impossible de retirer ces barres radioactives car le système prévu a lui aussi été détruit lors du tsunami. Les retirer avec une grue provoquerait des émissions de radiations destructrices, des incendies et potentiellement aussi des explosions, qui ne peuvent être évités qu'en les maintenant en permanence dans l'eau, dans des structures renforcées (ce qui n'a encore jamais été pratiqué nulle part, ajoutant une forte dose d'imprévisibilité à l'opération).

    Certains scientifiques pensent même que l'effondrement des piscines serait si grave que l'ensemble du Japon devrait être évacué. Cela représenterait 125 millions de réfugiés, ce qui causerait un désastre humanitaire sans précédent.

    Une des plus grandes accumulations de radioactivité de la planète

    Avant que vous ne balayiez de la main ces informations en les attribuant à quelque réseau antinucléaire extrémiste, voici ce qu'a déclaré Robert Alvarez, haut conseiller à l'environnement et à la sécurité nationale au ministère de l'énergie des Etats-Unis (Senior Policy Adviser to the Secretary for National Security and the Environment for the US Department of Energy) :

    « Le total des stocks de combustible nucléaire usé sur le site de Fukushima Daichi contient près de la moitié du montant total du Césium 137 libéré par tous les essais d'armes nucléaires dans l'atmosphère, Tchernobyl, et les usines de retraitement du monde entier (environ 270 000 000 curies ou 9,9 E +18 becquerels).
    Il est important que le public comprenne que les réacteurs qui fonctionnent depuis des décennies, comme celui du site de Fukushima-Dai-Ichi, ont produit un des plus grandes accumulations de radioactivité de la planète. »

    Les agences nucléaires du monde entier sont en alerte face à l'éventualité d'une nouvelle dégradation des réacteurs de Fukushima et des piscines de combustible usé, et des retombées radioactives qui s'ensuivraient. Une série d'explosions se produiraient qui entraîneraient des radiations dans l'ensemble de l'hémisphère nord, qu'il serait impossible de limiter.

    Ne comptez pas sur les autorités pour vous « prendre en charge 

    La morale de cette histoire est que, quoi que l'avenir nous réserve, ne comptez pas sur les autorités pour vous protéger, et encore moins pour vous « prendre en charge ».

    Si, dans un domaine aussi crucial que la sûreté nucléaire, elles sont capables de laisser une telle catastrophe se produire (difficile de prétendre qu'au Japon, personne ne connaissait le risque de tremblements de terre et de tsunami...), et si elles sont capables de si mal gérer les conséquences, dites-vous bien qu'elles agissent de la même façon, et pire encore, dans d'autres domaines, y compris celui si crucial de la santé publique.

    La réalité est que les experts des gouvernements ne sont tout simplement pas préoccupés, en premier lieu, par le bien public, et encore moins par votre cas particulier ou par le mien.

    Pour eux, comme pour beaucoup de monde, la priorité est avant tout d'assurer leur propre avancement, leur propre prestige. Et s'il faut pour cela contribuer, de façon active ou passive, à mettre en place un système dangereux et inhumain, beaucoup, malheureusement, n'hésiteront pas. L'histoire l'a prouvé, et combien de fois.

    Je vous tiendrai informé

    Je continue à recevoir, au jour le jour, des informations exclusives de Fukushima. Vous serez donc parmi les premiers à être informé dès que ce produira un événement important, et sans que les informations ne passent par le filtre des agences officielles. Cela vous permettra, si vous le souhaitez, d'être parmi les premiers à réagir.

    C'est ce qui fait, en général, toute la différence.

    Bien à vous,

    Jean Marc DUPUIS

     

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